GAT - ART

        Adepte de compositions graphiques et épurées, son travail majoritairement en noir et blanc, se construit au gré des situations spontanées et inattendues, préférant capturer l'instant présent à des situations mises en scène. En autodidacte, les thèmes abordés ou  ses choix  de cadrage ne sont guidés que par ses émotions et l’énergie qui s’en dégage.

 

          Dans cette perspective, les séries « Torsions of Time » et «  Alone »  nous évoquent la notion de passage, passage de l’Etre dans son  environnement construit ou naturel. Au gré de son vécu ou de sa sensibilité, chacun pourra imaginer un moment de vie, un souvenir, une retraite, ou une vision plus anthropologique ou métaphysique de notre passage. Revenir à soi, à l’essentiel, dans à une société en perpétuelle agitation et accélération.

 

          Ne s’imposant aucun thème, la subtilité du noir et blanc peut l’orienter aussi bien vers des photographies de voyages que tout près de chez lui sur le circuit automobile du Castellet.

C’est en 2006 que Rinda Meijer, d’origine néerlandaise, décide de déménager en France dans le département de l’Allier.

Elle y trouve l’apaisement et l’atmosphère pour se consacrer à la réalisation des sculptures qu’elle avait toujours imaginé.

Anciennement agent de Police aux Pays-Bas, elle oublie son quotidien et s’évade à travers ses premières créations.

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Ses sculptures symbolisent la beauté et la force de la femme, le mouvement dynamique renforce l’énergie positive qui s’en dégage. Les formes généreuses de ses personnages lui ressemblent, on devine une personnalité affirmée. Il s’y dégage une envie de représenter toutes les femmes à travers la sensualité des postures, les lignes du corps tantôt rondes, tantôt sveltes et allongées.

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Les animaux font partie intégrante de sa vie, elle aime les représenter joueurs, capturer un instant d’échange avec l’animal.

          « Je crée des sculptures explorant le métal, le bois, l’argile, ainsi que des matériaux recyclés.

Ces œuvres colorées sont remplies de motifs et de symboles pour relayer un message critique et reflètent les humeurs et les idées actuelles. »

          Lina Maalouf Husseini (Beyrouth, Liban, 1965) est diplômée de l’Université américaine de Beyrouth.
Passionnée d'art contemporain, elle devient une sculpteuse autodidacte.
          En 2014, elle présente sa première exposition, Machetag, montrant ses créations très colorées en papier-mâché

et mixed-media. A la recherche de nouvelles techniques, elle crée des sculptures en utilisant la diversité des matériaux, le bois, les métaux et les objets recyclés afin de sensibiliser, avec humour, aux thèmes sociaux et environnementaux.

En mars 2018, elle présente sa deuxième exposition "Second Degré" à la galerie Exode à Beyrouth.
En juin 2019, elle participe au Salon International - Multi Art Events à Saint-Jean-Cap-Ferrat, en France, présentant plus de 30 artistes de différents pays.       

   Installée en Provence depuis 19 ans, et après un virage professionnel choisi, elle s'est réinventée dans la sculpture.

Des cours traditionnels d'argile et de dessin lui ont permis d'appréhender le volume et la 3D.

Elle a pourtant délaissé les matières classiques pour détourner un matériau et sculpte... le fil électrique gaîné.

Contrairement à beaucoup d'artistes qui travaillent d'autres fils (de fer, de cuivre, de laiton) elle innove et détourne ce monde filaire... « conducteur » !

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Ses sculptures sont réalisées en fils naturellement de différentes couleurs ou bombées de peinture (la gamme chromatique est alors plus étendue).

      Elle ne travaille que d'après photos, sans moules ni supports extérieurs c'est là tout l'intérêt de son travail : donner volume à un modèle tiré de son imaginaire ou couché sur papier glacé.

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Elles peuvent être fixées sur un socle ou posées sur un meuble, disposées à terre suivant leur taille, mises à l'extérieur pour décorer un jardin ou un bord de piscine, ou même fixées au mur...

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